Nous avons basculé dans le département de la Corse-du-Sud, toujours en bordure de littoral. La faible profondeur des rives propage une couleur qui retransmet un formidable attrait pour l’île de Beauté. La transparence de cette mer vous incite à la baignade en toute quiétude.
C’est un délice qui se suffit à lui-même, mais on peut l’agrémenter avec bien d’autres choses. Le brocciu est un fromage frais de brebis ou de chèvre AOP. Un pur produit du terroir, nous avons englouti le pot dans la soirée.
La ville de Propriano est bordée de part et d’autre de plages sur de bonnes longueurs. En pleine saison estivale, j’aurais bien tenté une sortie en mer comme la plongée sous-marine, le monde du silence et toutes ses splendeurs.
En enchaînant avec la meilleure embarcation pour un bon moment en famille ou entre ami(e)s, tranquillement balloté dans un petit coin de paradis pour la journée…
À nouveau nous revenons sur la partie orientale de l’île avec Porto-Vecchio. Ville historique sur l’évolution de l’avenir des insulaires, Gênes cède la Corse au Royaume de France en 1768.
Un petit crochet à l’intérieur des terres, la route de Porto-Vecchio-Zonza-Solenzara. Véritable écrin pour les amoureux de chlorophylle et de fraîcheur.
Le plus bel endroit de cet itinéraire, les aiguilles de Bavella culminant à 1857 m et la rivière La Solenzara avec ses piscines naturelles. Elle prend sa source à 1145 m d’altitude et sillonne le massif sur 22 km.
Les pérégrinations oniriques de Jolly Jumper 