Un argument auquel nous avons été sensibles et qui a produit son effet : la ville de Nantua possède un trésor qui fait ralentir tous les passants, la sublime couleur de son lac.

Un écrin où l’on larguerait facilement les amarres pour se laisser dériver…

Il se localise dans le Haut-Bugey, dans le département de l’Ain. Ses dimensions : 2700 m de long, 650 m de largeur pour une profondeur de 42,90 m.







Par endroit, il est bordé de cyprès chauves dont les racines se confondent avec la roche.




Chaque année dans la commune, sur quelques murs, de nouvelles fresques murales font leur apparition. Un Delacroix à l’histoire mouvementée orne l’intérieur de son église.












C’est la grande spécialité culinaire, les quenelles de brochet sauce Nantua. Nous les avons achetés fraîches et sa sauce à base de beurre d’écrevisses en accompagnement.

Elles sont à quelques kilomètres de Nantua, on les surnomme les Marmites de Géant. Suivant la saison, le débit de la Semine peut totalement recouvrir la roche. Certaines cavités font plusieurs mètres de profondeur, créant de véritables siphons d’aspiration.














En remontant les gorges de l’Ain, le viaduc de Cize-Bolozon. Un édifice spectaculaire au passé tourmenté, son tablier supérieur s’étire sur 269 m.





Quelle que soit la direction, l’essentiel est d’être en harmonie avec son environnement. C’est peut-être ça la vie nomade, un rythme de vie où le temps n’est plus vraiment défini.
