C’est une course contre la montre que nous avons menée avant le passage du Tour de France dans la région en franchissant l’un après l’autre le col de Soulor…




Puis celui d’Aubisque… Aux abords des routes, chacun a pris position avant l’arrivée des coureurs.






Dans la continuité, la station de Gourette en terminant l’étape du jour sur la commune de Fabrèges au pied du pic du Midi d’Ossau (2884 m), grâce à l’énergie cinétique de ses quatre pistons…. Ouffff, bravo mon JJ.



Le lendemain matin, après 15 minutes de télécabine, nous débouchons sur la gare du petit Train d’Artouste. À près de 2000 m d’altitude, il est le plus haut d’Europe sur voies étroites. Autrefois, il a servi à la construction du barrage pour acheminer du matériel. C’est presque une remontée du temps, le temps de mon enfance à jouer au petit train électrique. Une balade à ciel ouvert pour profiter du paysage durant 55 minutes. Au départ, il s’engouffre dans le tunnel de l’Ours pour franchir la montagne. Par endroits, il ne reste que 50 cm de voie avant un précipice de 300 m, c’est la séquence émotion… En plus de la beauté des lieux. C’est la saison où l’hélicoptère opère des rotations pour alimenter les refuges et autres besoins…




















Mesdames et Messieurs, votre attention s’il vous plaît, terminus du train… Tout le monde descend pour apprécier le lac d’Artouste et ses calanques pyrénéennes… Avec nos remerciements aux cheminots pour ce fabuleux voyage.



