En Bretagne, l’amplitude des marées est un phénomène qui engendre de spectaculaires paysages tout en apportant une idée de la typologie des lieux. Plages immenses et roches affleurantes se succèdent sur tout le littoral des Abers et de la Côte des légendes.



En 1978, le pétrolier Amoco Cadiz se brise et provoque une marée noire polluant 350 km de côtes, l’une des pires catastrophes écologiques maritimes. Sur le port de Portsall, son ancre de plus de 20 tonnes symbolise ce naufrage. Grâce à une forte mobilisation humaine, la nature a repris ses couleurs dans cette petite Caraïbe bretonne.














Le tracteur et sa remorque spécifique sont couramment utilisés pour sortir les embarcations. Avec la pluie, sur le sentier du GR34, les escargots pullulent.






Sur la première photo, mon imagination y a vu le visage d’une petite fille…





Meneham retrace l’histoire d’un ancien village de paysans-pêcheurs-goémoniers. Initialement, le goémon servait d’engrais. Après sa transformation en usine, une tonne de goémon sec donnait un pain de soude de 50 kg pour en extraire environ 1 kg d’iode. Les douaniers avaient leur maison coincée entre les rochers.

















Je l’ai surnommé la maison-bateau, une chouette combinaison atypique dans son environnement.

