Soutenue dans sa démarche par l’Unesco, la ville de Meknès est en pleine rénovation de son patrimoine. La fin des travaux est annoncée pour 2025, le covid ayant bouleversé son planning. En 1061, les Almoravides en avaient fait un établissement militaire, ses remparts mesurent quatre mètres d’épaisseur, la grande tribu berbère Meknassa lui donnera son nom. C’est une ancienne ville impériale créée par le sultan Moulay Ismaïl au 17e siècle, fondateur de la dynastie alaouite.
Avec 30 °C de température, une présentation de son histoire en calèche était la bienvenue, agrémentée d’une touche de romantiiiiisssme.






Habituellement, c’est un bassin de 4 hectares de 5 mètres de profondeur qui servait autrefois d’abreuvoir pour les 12 000 chevaux du sultan Moulay Ismaïl. Les écuries sont en cours de réaménagement, le mur du fond sur la photo.







Visite du mausolée Moulay Ismaïl, rare monument religieux ouvert aux non-musulmans.










Elle est la grande spécialité de Meknès, l’incrustation d’un fil d’argent sur du métal aux fines rainures. Il faut parfois plusieurs passages pour aboutir au dessin final, un travail d’orfèvre. Après cuisson et polissage, le résultat est juste magnifique.












J’ai demandé à JJ son avis, il m’a répondu que c’était une superbe carrosserie.

C’est la pleine saison, l’eau de fleur d’oranger aromatise laitages, pâtisseries et salade de fruits, un subtil parfum pour les gourmands.

