Première ville impériale du Maroc, Fès est considérée comme sa capitale spirituelle, fondée sous le règne du sultan Moulay Idriss 1er en 791. Classée au patrimoine mondial de l’Unesco, elle cumule plusieurs festivals dont l’art culinaire et des musiques sacrées du monde. Les borjs (forteresses) donnent une belle perspective sur toute l’agglomération.






















Les monuments symboliques de la ville, la mosquée et l’université Karaouiyne et Médersa Bou Inania, l’école coranique. Dans cette dernière, le mihrab dans la salle de prière indique la direction de La Mecque et les mosaïques comportent des phrases du Coran.











Située en périphérie du centre-ville, cette entreprise expédie ses pièces dans le monde entier.










En passant la Bab Boujloud (porte), on pénètre dans l’ancienne médina de Fès avec son célèbre quartier des tanneurs. On travaille aussi bien le cuir de vache, de dromadaire et de chèvre, la couleur jaune étant la plus chère dans les peaux, car elle utilise du safran. Aucun produit chimique n’est exploité, y compris dans la poterie. Tout est naturel dans la fabrication.









Le Ramadan a débuté, certaines pâtisseries sont faites spécialement durant cette période.




Un travail très délicat, il faut retirer une fine lamelle de cuir pour faire apparaître le motif sur la chaussure.

Dans la babouche, chaque région affiche son élégance, une déclinaison presque infinie. Le bois, le cuivre, la broderie, l’instrument de musique, un véritable panel dans le fait main d’exception dans un labyrinthe aux nombreuses ruelles.

















Qu’il soit basique ou sophistiqué, l’artisanat marocain est extraordinaire dans sa créativité…
