L’Erg Chebbi est le second massif dunaire du sud marocain, il est complémentaire avec l’Erg Chigaga, car l’environnement est encore différent. Une première approche jusqu’à une petite oasis.
À gauche, la fleur mâle du palmier-dattier, à droite la fleur femelle et au centre les poils d’un dromadaire qui avait une furieuse envie de se gratter…
Par opposition au sable, le reg est la partie caillouteuse, le désert devient très vite addictif…
Un moment de partage dans une tente berbère, du pain trempé dans de l’huile d’olive et du sirop de dattes accompagné d’un thé à la menthe. Il arrive que d’autres herbes aromatiques se rajoutent à cette boisson. Nous avons ressenti une grande solidarité chez les nomades. Au Maroc, il n’y a que des dromadaires…
On les repère à leur traînée de poussière et il vaut mieux ne pas être dans leur sillage. Ce territoire connait une multitude de rallyes internationaux pendant six mois environ. Notre guide a couru et remporté des courses et nous a fait profiter de ses talents de pilote et des paddocks. Petite confidence, l’avantage, lorsqu’on a été Bédouin, est qu’on connait la région comme sa poche, le roadbook devient presque superflu.
Une spécialité pour notre pause déjeuner, la Medfouna, autrement dit la pizza berbère.
Regarder ces immensités dans un parfait silence est vraiment quelque chose de fantastique à vivre.
Cet ouvrage était autrefois un système d’irrigation.
À Merzouga, le Morocco National 4X4 Auto Museum, des véhicules des plus insolites.
La visite se termine chez un marchand de fossiles qui nous en explique l’origine et dont certaines déclinaisons sont mises en valeur de façon exceptionnelle.
Les pérégrinations oniriques de Jolly Jumper 