Nous progressons toujours sur la nationale 12 en direction de Foum Zguid, nous découvrons le village de Toug Rih…
Et de nouveaux paysages…
Akka N’Ait Sidi et sa très belle oasis, la vie reprend.
La cascade de Tissint.
Notre excursion démarre de Foum Zguid, une boucle de 160 km dans le Sahara jusqu’à l’erg Chigaga (massif dunaire).
Un ensemble emblématique, de gauche à droite, le Doigt, la Reine, le Tajine.
Arrêt dans une oasis, l’eau affleure à la surface.
Passage dans les dunes, emprunté autrefois par le rallye du Paris-Dakar. Tout comme les dromadaires, les ânes sauvages se regroupent sous un arbre pour se mettre à l’ombre.
Notre pause déjeuner au restaurant du Titanic au milieu du lac Iriki. C’était, il n’y pas si longtemps encore, une étendue d’eau de 50 km2.
Nous avons pu voir ce phénomène optique qui produit l’illusion d’une nappe d’eau sur l’horizon, un mirage.
Le bivouac où le soir venu la fraîcheur se fait vite sentir, les musiciens et le feu de camp ont réchauffé l’atmosphère. Les dromadaires sont laissés en liberté, mais il arrive que l’on entrave leurs membres antérieurs d’un cordage pour limiter leur déplacement.
Séquence séduction…Pour convaincre la clientèle, tous les moyens sont bons…Regard attendrissant, afficher son plus beau sourire…Un moment de franche rigolade avec notre guide.
Le clou du spectacle, une balade en dromadaire pour assister au coucher du soleil sur le haut des dunes. Il fallait regagner nos montures avant la tombée de la nuit. La pleine lune était de la partie elle aussi.
La main de Mariam, cette plante pousse en plein désert et on lui prête des vertus thérapeutiques, en décoction comme une tisane. Notre chevauchée dans le désert se termine sur un monticule de roches fossilisées. Elle restera une de nos meilleures sorties, un rêve devenu réalité.
Les pérégrinations oniriques de Jolly Jumper 