C’est une immense baie qui s’ouvre au visiteur en arrivant à Essaouira. La plage, son artère principale, invite au farniente ou à diverses activités. Qu’il soit de style moderne ou mauresque, l’aspect architectural est assez flatteur.








Son maître le surnomme Beau Gosse…

La pêche du jour arrive au port, un petit pousseur l’aide à la mise à quai. Nous n’avons pas hésité une seconde à goûter un sandwich aux boulettes de sardines, plutôt savoureux. En cuisine de rue, c’est une chose que l’on apprécie pour s’immerger dans le culinaire local. Il y avait aussi des cornets de pois chiches.









La forteresse qui ceinture la vieille ville est assez vaste et encore en bon état.








En pénétrant dans la médina, nous avons fait une pause dans un coffee shop à l’ambiance vintage.









Après avoir rainuré le bois, cet artiste découpe et incruste de fines lamelles en recyclant une gamelle en aluminium, le tout avec un marteau, une pointe pour le dessin et une cisaille à main. En prenant un peu de recul pour admirer son œuvre, le contraste du bois et du métal est bluffant.



En évitant soigneusement la mâchoire d’un crocodile, on en profite toujours un peu pour ravitailler avec une petite préférence pour le pain berbère plutôt que la façon marocaine.







L’huile d’argan, appréciée pour ses vertus de beauté et de bien-être, devient comestible et très parfumée après torréfaction de ses graines oléagineuses. Elle provient de la région du Souss, dans un triangle entre Essaouira, Tiznit et Taroudant. On la trouve aussi sous la forme de savon.



En camping-car, toutes les nuits ne ressemblent pas. Donc, quand le besoin se fait sentir, on se repose au calme…




Une petite tortue mauresque (espèce protégée) déambulait sur le camping. Elle n’a pas d’éperon corné sur sa queue, contrairement à la tortue Hermann que l’on peut confondre.

