244-Marrakech

Marrakech, un nom connu du monde entier à travers le tourisme ou le cinéma, cette ancienne cité impériale est une représentation vivante du Maroc dans toutes ses attractivités, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1985. Elle est surnommée la ville ocre, cette couleur protégeant les yeux de la luminosité du soleil. Elle a été fondée en 1062 par le premier roi des Almoravides, Youssef Ibn Tachfine. 3e ville la plus importante du pays après Casablanca et Rabat, elle rayonne entre la mer et le désert.

Comme le camping était relativement éloigné de la ville, nous avons opté pour un transport express avec la compagnie Aladin Airlines en frottant la lampe du grand génie et en décollant sur son tapis volant.

Après un atterrissage en douceur, nous nous sommes mis directement dans l’ambiance en pénétrant la médina et ses cavernes d’Ali Baba et ses merveilles, appelées communément le souk.

Dans sa grande majorité, ce magasin ne comporte que des pièces uniques du plus bel effet.

Le minaret de la mosquée Koutoubia est le symbole de la ville, visible à des kilomètres. Elle est en cours de restauration à la suite du dernier tremblement de terre. Lieu de détente pour son jardin et ses fontaines.

Dans un voyage, il ne faut jamais oublier la faune… Un exercice qui me remplit d’ivresse et de liesse.

La place Jemaa el Fna, à la fois folklore de plein air et lieu incontournable pour son atmosphère, est la porte d’entrée des différents souks en n’oubliant pas au passage que marchander est culturel au Maroc. Le soir venu, une ruche humaine s’active pour mettre en place des stands de restauration avec des escargots, des grillades de viande ou de poisson et des jus de fruits. On y découvre des artistes de théâtre, de la musique, se faire tatouer les mains (par une nekacha) avec le henné pour embellir la future mariée en apportant paix et prospérité.

Proche de la place, la promenade en calèche est très répandue. Pourquoi tu rigoles, c’est à cause du photographe ?

Calèche

Un petit tour dans la palmeraie. C’est contagieux, à ma vue, même le dromadaire sourit…