Toujours en quête de paysages montagneux, en quittant Ronda, nous avons choisi de traverser les parcs naturels de la Sierra de Grazalema et de Los Alcornocales. Une première étape à Algodonales, un spot pour les parapentistes. Quelques pratiquants français étaient là et nous avons discuté sur ce sport de haut vol. Pour attraper les courants thermiques, les sportifs s’inspirent des vols des rapaces et vice-versa, une entraide commune aux plaisirs partagés. Afin d’apprendre ou de réviser son espagnol, une recette culinaire en passant.










Point commun dans ces villages de montagne, les fontaines et lavoirs y tiennent encore une grande importance. Il y a trois sources sur la commune et le goût est différent suivant le secteur.







La flore des rues et la faune avec un petit reptile de la famille des geckos.








Juste en face d’Algodonales, Zahara de la Sierra. Tous deux, avec Grazalema, font partie des plus beaux pueblos blancos.

Grazalema, à partir de là, la route devient très sinueuse et il est quasiment impossible de pouvoir marquer une halte sur le côté sans risquer d’abîmer le bas de caisse du véhicule.









Même éloigné, on n’a pas le sentiment de désertification rurale, bien au contraire.

















La douceur amène la floraison des amandiers, les champs regorgent d’iris. Quelle joie d’ avoir pu admirer et photographier des vautours fauves durant une vingtaine de minutes. Ils font jusqu’à 2.80 m d’envergure, c’est époustouflant…









En chemin, le village de Benaocaz.

Nous quittons les cimes pour la plaine de Benalup-Casas Viejas. À regarder l’écriture de la ville, plus on descend vers le sud et plus l’influence mauresque se fait ressentir. C’est l’une des routes des grands migrateurs, les cigognes et les hérons abondent. Au cours d’une balade, on s’est retrouvé cerné par une transhumance de moutons, rigolo et sympa au milieu d’un concert de cloches.















