De loin, on a l’impression qu’il est couvert de neige. Le Mont Chauve ou le Géant de Provence, de son vrai nom le Mont Ventoux, exerce une fascination pour beaucoup de monde. En grande partie dégarnie, cette zone caillouteuse aux conditions extrêmes est classée par l’UNESCO Réserve de biosphère depuis 1990 et Parc naturel régional en 2020.



Étape mythique du Tour de France, c’est l’épreuve de force pour les cyclistes de tous bords. Point culminant de la plus haute montagne du Vaucluse avec 1912 m, il est devenu une divinité.





Ce jour-là, on ne savait pas qu’une course était organisée, Jolly Jumper a dû jouer des coudes avec les coureurs pour atteindre le sommet. Chaque année, nos amis Belges y organisent une rencontre, mais ce week-end-là, il fallait compter en plus les Néerlandais venus pour une association de bienfaisance, au total, selon la rumeur, près de 3000 personnes. Au moins, on peut dire qu’on était dans l’ambiance avec toute cette frénésie et ce n’était pas plus mal finalement.
















Un fantôme hante toujours ces virages…

À propos de virages, le lendemain, à mi-hauteur du mont, je me suis consacré à ma passion. Avec la photo animalière, le mouvement reste ma préférence photographique. Comme avec les oiseaux, j’ai sollicité mon ouïe pour percevoir la bonne fenêtre de tir, mon champ de vision étant restreint par l’environnement.





















Rouler roue dans roue ou tricycle novateur ? …

Après avoir bien mouillé le maillot, sans être à plat, j’ai changé le braquet de mon objectif pour ce coucher de soleil, suivi d’une roue libre dans les bras de Morphée, bonne nuit…
