J’ai pris beaucoup de retard. Pour conserver la numérotation, la date de publication (02/09/2021) ne correspond pas avec celle de la rédaction (14/11/2021).
2 ans que nous sommes sortis de notre zone de confort, l’occasion de faire un nouveau bilan pour cet anniversaire avec ce 100e article. Pour nous, cela représente cette frontière que nous avons franchie en partant dans une autre dimension. Rien n’est comparable, c’est juste différent. Le plus dur a été de déterminer le bon moment pour quitter cet état psychologique pour un autre, une affaire de temps en quelque sorte. Pour tenter de répondre à cette délicate équation, je suis allé à la rencontre d’un éminent spécialiste de renommée mondiale.
C’est en passant tous les matins devant cette horloge pour se rendre à son bureau que cet illustre personnage a défini sa théorie.
Bonjour monsieur Einstein, j’aimerais vous poser une question relative au temps…
Asseyez-vous, je vous en prie, ça va demander un peu de temps et je n’aime pas perdre mon temps…
Personnellement, j’ai tout mon temps quand il fait beau temps…
Sans doute, mais moi, mes neurones commencent à subir l’usure du temps…
Il va vous falloir prendre la mesure du temps…
En effet, il faut tenir compte de l’espace-temps…
Est-ce à dire qu’il faut vivre avec son temps…
Il ne faut pas non plus attendre le temps des cerises pour remonter le temps pour être dans les temps…
Merci, grâce à vous, même en regardant mon garde-temps, j’ai perdu la notion du temps…
Post-scriptum, voilà : de temps en temps, il faut savoir prendre le temps… d’une réflexion.
L’épilogue, au fil du temps, Jolly Jumper a fait de nous un des couples les plus privilégiés au monde. En effet, qui peut se targuer de posséder une résidence partout où il va ? Et comme nous ne sommes pas avares, les sans domicile fixe heureux vous font plein de bisous.
En route, mon JJ !!!…
Les pérégrinations oniriques de Jolly Jumper 