Avant tout terre d’élevage avec la race bovine qui porte son nom, l’Aubrac est composée de trois départements, l’Aveyron, le Cantal et la Lozère.


Aujourd’hui, bien que principalement destiné à la consommation de viande, son lait assure encore la production des fromages comme le Cantal ou le Laguiole. Cet animal rustique est parfaitement adapté aux conditions de vie difficiles en montagne.



Du clou de chemin de fer en passant par l’assemblage de pots au lait ou l’emboutissage de lames de couteaux, son image jalonne tout le territoire.





Pour rester authentique et goûter au charme d’autrefois avec de vraies spécialités culinaires comme l’aligot ou la truffade, rien de tel que le buron. Cet habitat traditionnel servait de gîte pour les hommes et les bêtes pendant l’estive.




Des paysages de pâturages et de prairies dessinent ce magnifique plateau que constitue l’Aubrac. De nombreuses résurgences facilitent l’autonomie des troupeaux. Le grand air incite à l’évasion : ce jour-là, on a avalé 12 km de rando en élargissant le parcours de Grandvals.




















Cette région du Massif Central est parcourue de traces volcaniques.












Les eaux brûlantes de Chaudes-Aigues.






La coutellerie à Laguiole, un incontournable pour une lame personnalisée.

C’est à la suite d’un bon repas entre amis que naquit l’idée d’une distillerie de whisky à Laguiole. Trois ans, c’est le temps requit pour avoir le droit de porter l’appellation de cette boisson enivrante. Jeune entreprise, son premier batch (lot) est sorti en 2020. Son nom provient du numéro du département de l’Aveyron. On a pu le goûter directement à la sortie de l’alambic. La Maison Stupfler a une renommée mondiale en matière de chaudronnerie.








Au 19e siècle, la crise agricole provoque l’exode dans la région, ceux qu’on appelait les Bougnats, livreur de charbon ou tenancier de bistrot à Paris, beaucoup étaient originaires de la commune de Saint-Urcize.









Quelques vues durant notre séjour…









Un clin d’œil au Sieur Jean de La Fontaine, ce lait d’Aubrac, c’est de la bombe !!! Et ce n’est pas ce crapaud qui dira le contraire, lui qui voulait devenir aussi fort qu’un taureau d’Aubrac.



C’est incontestable…
