Lecteurs du jour, bonjour, quelques photos avant la lecture d’un nouvel article. Il y a trente ans, avant l’agriculture raisonnée, il n’y avait aucun Milan royal dans la région.




















De nos jours, l’agriculture contemporaine représente un défi de tous les instants. Rare sont les professions requérant autant de compétences dans différents domaines.

Ce métier demande une adaptabilité quasi-permanente, la technologie. La bureautique, la mécanique, les mesures sanitaires et environnementales sont un des échantillons de leurs difficultés dans leur quotidien, et ça n’est pas rien.












Chaque année, il leur faut déclarer aux autorités compétentes le type de culture envisagée sur les parcelles, recenser les variétés d’arbres et de haies pour la biodiversité, quantifier les produits phytosanitaires utilisés, s’informer des nouvelles mesures gouvernementales, suivre les marchés boursiers, l’évolution des semences et jongler avec les conditions climatiques.
Même marque pour ces deux-là (FENDT), mais 40 ans d’écart, la relève est assurée.



L’intérieur d’un tracteur se rapproche de l’univers des jeux vidéo, en apparence seulement. Une fois rentré les coordonnées GPS, la machine optimise le travail au mètre près. Le matériel permet de greffer des outils spécifiques en exécutant des tâches différentes. Le mode d’emploi d’un tracteur dépasse les 10 cm d’épaisseur. Pas moins de 4 radiateurs pour refroidir cet engin avec une consommation de 32 l/heure, un pneu arrière approche les 1.80 m et 6700 kg à l’arrivée pour cette bête des champs.













Aujourd’hui, un collier connecté permet d’évaluer la ration ingurgitée par un jeune veau et de suivre ainsi son état de santé en améliorant la condition animale. L’usage des produits vétérinaires est aussi très encadré.



Messieurs les Agriculteurs, chapeau bas, vous êtes les mamelles d’un pays et on vous doit beaucoup. À nous consommateurs de veiller au grain lors de nos achats.