Regards sur Angers, la capitale de l’Anjou au charme indéniable.

On y parle beaucoup d’apocalypses, le temps y est décompté… La fin du monde est proche.
Après, ce n’est pas non plus Apocalypse Now, mais juste « une petite tenture » de 100 m (140 m à l’origine) qui illustre l’Apocalypse de Saint Jean ou le Livre des Révélations, le dernier texte du Nouveau Testament. Il aura fallu 7 ans pour réaliser un ensemble de six tapisseries de 6 mètres de haut sur 23 mètres de long commandé en 1375 par le duc Louis 1er d’Anjou. Trois séries de sept fléaux relatent les visions prophétiques de la lutte entre le bien et le mal. Après quelques sueurs froides, malgré tout ça, la nuit fut douce, merci Jolly.
Reste aussi..

Une forteresse royale, le château d’Angers, construit sur un promontoire rocheux surplombant la Maine. Cette rivière de 11 km provient de la Sarthe et de la Mayenne et finit sa course dans la Loire.
Le centre-ville offre une belle balade avec ses rues pittoresques.
Sur près d’un demi-kilomètre d’enceinte composée de schiste et de calcaire blond, les 17 tours d’une trentaine de mètres imposent leurs statuts défensifs. Après la dynastie des Plantagenêt, Blanche de Castille fera édifier cette forteresse au XIIIe siècle.
Avant Angers, on a hésité sur la destination, pensant que tout était peut-être détruit dans cette commune. On cherche toujours le responsable.

Et il y en a une qui trouve ça drôle !!
