De retour d’Allemagne avec Jolly Jumper et le plein d’émotions, il nous a fallu prendre très rapidement nos marques pour la gestion quotidienne de cette nouvelle vie dans des conditions climatiques pour le moins complexes pour un début.
En effet, difficile d’évaluer sa consommation énergétique les premières semaines en fonction de la saison et de notre maigre expérience dans ce domaine. Heureusement pour nous, Jolly Jumper a su relever ce défi avec brio et protéger ses occupants.
Après quelques mois d’hiver, les choix techniques ont depuis fait leurs preuves à notre grande satisfaction et par la Deutsche Qualität de la Reisemobil Manufaktur.
À la tombée de la nuit, la sécurité en pleine nature reste un facteur important et s’additionne au stress du quotidien dans les premiers temps. La composante « psycho-traumatique » tourne à plein régime dans une ambiance fantasmagorique semblable au sketch de la chauve-souris de Bigard.
Au matin, nos craintes se dissipèrent avec l’apparition d’un soleil matinal enchanteur qui nous ramena à la vie. Le départ de nos pérégrinations oniriques.
Les pérégrinations oniriques de Jolly Jumper 
Superbe 🙂 j’adore les photos surtout la dernière et je suis tellement contente de pouvoir maintenant vous suivre en images et texte via le Blog ! je l’attendais avec impatience BRAVO
Colette